Résultat du match Maroc Comores

Fin du live

Merci à tous de nous avoir suivis pour cette rencontre d’ouverture de la CAN 2025 entre le Maroc et les Comores. Rendez-vous dès maintenant sur Foot Mercato pour la fin d’OL – Saint-Cyr-Collonges en Coupe de France et pour la suite des lives CAN mardi avec Sénégal-Botswana dès 16h. Bonne soirée !

L'homme du match pour Foot Mercato : Brahim Diaz

Le ballon circule dans le camp marocain alors qu'il ne reste que quelques secondes.

Encore une fois, Saïd est signalé hors-jeu sur un renversement de la droite vers la gauche. L'attaquant comorien aura péché au niveau de la concentration sur les transitions de son équipe ce soir.

Temps additionnel 4 minutes minimum

Le bilan statistique à l'approche du temps additionnel

Les corners s'enchaînent sur le côté gauche. Salah-Eddine s'y colle à nouveau, le ballon est dévié vers le point de penalty où El Yamiq envoie une lourde frappe qui passe de peu au-dessus.

Les Marocains déroulent face à des Comoriens dans le dur physiquement et techniquement.

Vous pouvez également assister à l'ouverture du score de Brahim Diaz

🇲🇦 D'un coup de canon du point de penalty, Brahim Diaz délivre le Maroc et lance la CAN 2025 !!! pic.twitter.com/Oy9YS03ME8

— beIN SPORTS (@beinsports_FR) December 21, 2025

Le but d'El Kaabi en vidéo

Un autre ancien de Ligue 1 fait son entrée sur la pelouse du côté des Comoriens.

Belle détente de Pandor sur sa droite pour venir s'opposer à une frappe tendue d'En-Nesyri depuis les 20 mètres.

Les Comores tentent de réagir par l'intermédiaire d'un centre de M'Changama mais Amrabat opère un joli retour de la tête pour renvoyer le ballon en dehors de la surface.

En retard sur M'Changama et vindicatif envers M. Ndala, El Yamid écope d'un avertissement logique.

L'inspiration géniale d'El Kaabi permet au Maroc de prendre une sérieuse option sur la victoire, à un quart d'heure de la fin, et de perpétuer la bonne forme des pays hôtes en entame de CAN, eux qui n'ont plus perdu depuis 1998 en ouverture.

Les visiteurs tentent d'apporter le danger sur de longs ballons qui fusent avec la pluie battante. Mais quand Saïd n'est pas hors-jeu, il est victime d'une excellente couverture d'Aguerd.

Lors de la prochaine journée, le Maroc affrontera le Mali vendredi à 21h, alors que les Comores seront confrontées à la Zambie juste avant, à 18h30.

À noter que le déluge tombe à nouveau sur Rabat.

Pandor ferme bien son poteau sur une frappe de Diaz en angle fermé, après un centre venu de la gauche mal renvoyé de la tête par l'arrière-garde comorienne.

Plusieurs remplacements se préparent également du côté des Comores...

Deux changements pour le sélectionneur marocain...

Coup franc pour les Lions de l'Atlas tiré par Diaz depuis la droite. C'est vers le second poteau où El Aynaoui remet dans le paquet. Ounahi, à l'affût dans l'axe, taupe sa frappe et permet aux Comores de dégager en catastrophe dans un second temps.

Salah-Eddine intercepte une passe pas assez appuyée de Selemani avant de débouler et transmettre à Ounahi, dont l'ouverture aérienne pour le une-deux est ensuite trop profonde.

Le Maroc a-t-il fait le plus dur avec cette ouverture du score ? L'équipe de Walid Regragui semble en tous cas s'enlever une belle épine du pied alors que le chrono commençait à tourner.

Bilan des tirs jusqu'à présent : Maroc 8, Comores 1. Une frappe cadrée de chaque côté (le penalty manqué de Rahimi à la 11e, le coup franc lointain de M'Changama dans le temps additionnel).

Si ça ne passe pas à droite, alors on tente à gauche avec Saibari qui adresse un centre au second poteau où Mazraoui est tout proche de pouvoir remettre dans l'axe mais le ballon lui échappe pour quelques centimètres.

Les Cœlacanthes n'arrivent pas à se dégager et les Marocains maintiennent la pression. Un hors-jeu de Rahimi est sifflé sur un centre d'Amrabat consécutif à une récupération haute.

Le Maroc tient logiquement le ballon dans ces premiers instants et tente d'imprimer un tempo rapide, surtout via le côté droit.

Le coup franc ne donne rien et M. Ndala s'apprête à renvoyer les 22 acteurs aux vestiaires.

Faute concédée par Selemani sur Diaz, côté droit. Le Maroc obtient un dernier coup franc avant la pause.

La cheville gauche de Pandor est restée bloquée après le tacle de Diaz. Les soigneurs s'affairent autour de lui mais le gardien parvient enfin à se relever. Plus de peur que de mal.

Alors que Soihili avait manqué le ballon, Diaz est à l'affût et veut tacler le ballon devant Pandor. Le Marocain fauche finalement le gardien et est sanctionné d'un carton jaune.

La distance ne fait pas peur à M'Changama, qui avait marqué les esprits d'un magnifique coup franc contre le Cameroun en 2022. Le capitaine adresse un tir flottant, que Bounou maîtrise avec difficulté.

Récupération de Saïd qui intercepte une passe d'Ounahi avant de partir en transition face à plusieurs Marocains. Le Comorien tire superbement son épingle du jeu en grattant une faute d'El Yamiq.

Temps additionnel 5 minutes minimum

VAR en cours

M. Ndala signale qu'il va aller voir l'écran au bord de la pelouse.

M. Ndala attend avant de rendre le ballon à Pandor. Possible appel du VAR dans son oreillette ?

Diaz s'effondre dans la surface et se plaint d'avoir été accroché par Zaydou Youssouf. L'arbitre ne siffle pas.. dans un premier temps.

Une ola se met en place dans les tribunes du stade Moulay-Abdallah, pendant que les Lions de l'Atlas font circuler de part et d'autre des 30 mètres comoriens.

Nouveau centre marocain pour tenter d'apporter la menace. Mais celui de Salah-Eddine est facilement dégagé au loin.

Diaz décale Aguerd qui loupe totalement sa frappe, laquelle s'envole dans les travées. Le défenseur rouspète auprès de son numéro 10 et son décalage.

M. Ndala avait prévu et sanctionne désormais. C'est Kari qui écope du premier carton après avoir fauché Saibari dans ses 30 mètres.

79% de possession pour le Maroc, qui manque encore de tranchant dans ses relais face à un bloc comorien qui continue de bien tenir le coup.

Les fautes se multiplient du côté des Comoriens, obligeant M. Ndala à rappeler Selemani à l'ordre sur l'une d'entre elles. Au bord d'adresser un carton jaune au numéro 7, l'arbitre fait preuve de diplomatie mais cela ressemble au dernier avertissement pour l'équipe insulaire.

Le penalty arrêté par Pandor en vidéo

C'est cette fois Saïd qui dégage de la tête au premier poteau avant que le Maroc n'obtienne un nouveau coup franc, rapidement joué vers Saibari, esseulé à gauche, mais dont la frappe n'est pas assez enroulée pour approcher le cadre.

Le centre de l'ex-Marseillais est renvoyé de la tête par Boura en corner.

Coup franc obtenu par Salah-Eddine près de la surface, côté gauche. Ounahi s'apprête à le frapper rentrant.

Les Comores continuent d'opérer en bloc bas, obligeant le Maroc à contourner par les côtés afin de se dégager des espaces. Cette fois c'est depuis la gauche qu'un centre fuyant fait passer une frayeur dans la surface des Cœlacanthes, mais toujours sans mettre Pandor en danger.

Comme souvent depuis l'entame, c'est par la droite que le Maroc insiste, avec Mazraoui qui multiplie incursions et centres. Sur le dernier d'entre eux, Toibibou s'impose de la tête devant El Aynaoui.

C'est en tous cas un début de rencontre qui refroidit l'enthousiasme ressenti durant l'hymne, entre penalty manqué et blessure.

Comment ne pas penser à l'influence du protocole dans la probable blessure musculaire de Saïss, alors que les équipes ont pénétré 15 minutes avant le coup d'envoi sur le terrain et sous une pluie battante.

Walid Regragui est donc forcé à opérer un changement précoce pour suppléer son capitaine blessé.

Les Comores ont toutes les peines du monde à se dégager après un centre renvoyé par Pandor. Finalement, Zaydou Youssouf obtient un coup franc salvateur pour renvoyer le danger.

La pluie vient de s'arrêter, les joueurs ne s'en plaindront pas alors que le coup d'envoi a été donné sous le déluge.

Saïss se relève sous les applaudissements de ses supporters. Il se teste sur le bord de la pelouse avant de reprendre sa place.

Saïss reste au sol, le jeu est provisoirement arrêté. Le capitaine s'est effondré après un contact avec Saïd. Au vu du ralenti et de sa grimace, cela semble musculaire pour le Marocain. Le coup serait terrible pour lui.

Les Comoriens font le dos rond et défendent en bloc pour le moment, à l'image du capitaine M'Changama qui vient au charbon dans sa surface pour subtiliser le ballon à Mazraoui.

Selemani surgit dans sa surface pour intercepter devant El Aynaoui un centre en retrait marocain, avant de partir en contre. Stoppé irrégulièrement par Aguerd, il obtient un coup franc dans le rond central.

Le ballon circule dans les pieds des locaux. Cela manque un peu de rythme et de précision, sûrement en raison du poids de l'enjeu qui peut peser sur les épaules des Marocains.

Lors des phases marocaines, on entend déjà des premiers "Olé" à chaque passe, alors que les Lions de l'Atlas tentent ensuite une première percée via le côté droit, infructueuse.

Les Comoriens doivent composer avec des sifflets nourris dès qu'ils touchent le ballon dans ces premiers instants.

Une pluie battante s'abat sur Rabat alors que Moulay El Hassan donne le coup d'envoi fictif de la rencontre.

Le prince héritier du Maroc, Moulay El Hassan, accompagné de Gianni Infantino, vient saluer un à un les joueurs des deux équipes, ce qui explique le temps entre l'entrée sur la pelouse et le coup d'envoi.

Énorme ambiance durant l'hymne marocain, qui donne le tempo d'un peuple prêt à s'enflammer un mois durant pour ses Lions de l'Atlas.

[📺LIVE] 🏆🌍 #ClubCAN #beINCAN2025
🇲🇦 L'hymne marocain retentit dans le stade Prince Moulay Abdellah ! pic.twitter.com/2LejedfHeG

— beIN SPORTS (@beinsports_FR) December 21, 2025

Les deux sélections pénètrent sur la pelouse. Les hymnes vont retenir, en commençant par celui des Comores. Entrée précoce alors que le coup d'envoi n'est prévu que dans 15 minutes.

Le stade

Hôte de la rencontre d’ouverture, le stade Moulay-Abdellah, d’une capacité de 68095 places a été rénové pour cette Coupe d’Afrique des Nations mais également dans l’optique de la Coupe du Monde 2030. Il accueillera 7 rencontres dans le tournoi et fera notamment la part belle au Maroc puisque les hommes de Walid Regragui y disputeront leurs 3 matches de phase de poules. Et s’ils terminent premiers du groupe A, ils pourraient même faire un carton plein jusqu’à la finale, également prévue ici.

Les matchs d’ouverture de la CAN : les pays hôtes ont largement l’avantage

Sur les 34 précédents matchs d’ouverture de la Coupe d’Afrique des Nations, tous — sauf un en 1970 au Soudan — ont impliqué le pays organisateur, pour un bilan de 19 succès, 9 nuls et 5 défaites. Celui-ci est même invaincu dans ce type de rencontres depuis 1998 et un revers du Burkina Faso face au Cameroun (0-1).

Le capitaine est là

C’est un grand ouf de soulagement qu’ont dû pousser les supporters des Lions de l’Atlas en voyant Achraf Hakimi ces derniers jours. Le porteur du brassard s’était blessé avec le PSG il y a un mois et demi et c’est tout un pays qui craignait le forfait du joueur africain de l’année 2025. Finalement, le latéral droit est bien présent d’entrée de compétition, même s’il devra pour l’instant se contenter du banc, histoire de reprendre en douceur…

Les Comores veulent surprendre à nouveau

Équipe surprise de la CAN 2021 (jouée… en 2022), les Cœlacanthes avaient réussi à s’extirper de leur groupe, où ils avaient d’ailleurs rencontré le Maroc, avant d’être éliminés avec les honneurs par le Cameroun en 1/8e de finale (1-2). Un match qui avait marqué les esprits car l’équipe alors entraînée par Amir Abdou était décimée par les forfaits en raison du COVID-19 et avait notamment dû jouer avec un joueur de champ, en l’occurrence Chaker Alhadhur, au poste de gardien de but, et en infériorité numérique dès la 7e minute.

L’espoir de tout un peuple

Frustré par une élimination précoce face à l’Afrique du Sud en 1/8e de finale lors de l’édition 2024 (0-2), le Maroc s’avance à domicile avec la volonté légitime d’enfin remettre la main sur le trophée qui le fuit depuis 1976. À moins de 5 ans de la Coupe du Monde coorganisée avec l’Espagne et le Portugal, c’est aussi un galop d’essai grandeur nature pour une nation qui s’est dotée d’infrastructures ultra-modernes afin de maximiser les chances d’une génération que l’on promet dorée.